C'est reparti. L'atelier de sérigraphie a fait sa rentrée cette semaine, et moi j'ai aussi rouvert mes carnets pour reprendre de nouveaux projets.
Le lapin qui sort du chapeau, c'est un motif que je voulais faire depuis longtemps, et comme souvent j'avais un peu de mal à finaliser le dessin. Là, j'ai seulement agrandi mon crayonné de départ et je l'ai à peine retouché pour garder le côté vif du croquis. Par contraste, j'ai utilisé une typo à étoiles très kitch (j'ai utilisé une vieille planche de Letraset, on en a encore un stock à l'atelier, la plupart ne se transfère plus mais on peut encore découper les lettres), puis j'ai ajouté un semis de petits points et d'étoiles dessinés à part.
Deux séries de 10 carnets pour commencer : une en jaune, orange et noir, l'autre en gris légèrement argenté et orange fluo.
vendredi 30 septembre 2016
lundi 26 septembre 2016
La plage du Havre
Encore un collage sur carte postale, en 2 morceaux sous un passe-partout provenant d'un ancien album photo. La carte représente la plage du Havre, vers 1930. Cadeau pour des amis qui nous ont fait découvrir (et aimer) cette ville.
vendredi 23 septembre 2016
Collages portraits
Je poursuis mes collages sur cartes postales anciennes, je voudrais arriver à en terminer une vingtaine pour mes portes ouvertes d'atelier, mi-octobre.
Voilà 3 portraits, les cartes supports datent du début du 20e siècle.
Voilà 3 portraits, les cartes supports datent du début du 20e siècle.
mercredi 21 septembre 2016
Dernière minute
J'exposerai le week-end prochain à la Manufacture des Oeillets, à Ivry, à l'occasion des portes ouvertes des ateliers d'artistes. Inutile de me chercher dans le programme, je n'y suis pas, c'est une invitation de dernière minute !
J'exposerai à l'atelier 10, un loft du rez-de-chaussée de la manufacture, il suffit de suivre les ronds rouges au sol à partir de l'entrée !
J'exposerai à l'atelier 10, un loft du rez-de-chaussée de la manufacture, il suffit de suivre les ronds rouges au sol à partir de l'entrée !
mardi 13 septembre 2016
Spécial 20 ans
En admiratrice inconditionnelle de Perec, j'ai fait un petit livre "Je me souviens" pour mon grand, 20 petits souvenirs rien que pour lui, avec une couverture sérigraphiée de son doudou.
5 exemplaires collector !
5 exemplaires collector !
jeudi 8 septembre 2016
mercredi 7 septembre 2016
Duo de cahiers
C'est reparti : avant de partir en vacances, j'avais commencé ce motif, créé à partir d'un catalogue de la Samaritaine de 1901. Les bouilles adorables de ces enfants, sous ces mignons petits chapeaux m'ont fait craquer !
D'abord, 2 carnets 17 x 22 cm, 10 exemplaires de chaque, 3 et 4 passages en sérigraphie.
D'abord, 2 carnets 17 x 22 cm, 10 exemplaires de chaque, 3 et 4 passages en sérigraphie.
J'arrive presque au bout de mon stock de carnets de ce format, épuisé par la commande du Bon Marché !
Collage d'été personnalisé
Pour des amis qui se sont mariés pendant l'été, un petit collage spécial : à la base, une carte com' des années 90 de la boutique mariage du grand magasin Printemps, sur laquelle j'ai collé plein d'éléments différents, dont un télégramme de félicitations des années 50.
lundi 5 septembre 2016
Prolongation
Au 10, rue Béranger, dans le 11e, l'expo-vente se prolonge d'une semaine supplémentaire, jusqu'au samedi 10 septembre donc, toujours de 10h à 20h.
vendredi 2 septembre 2016
J'y suis !
Aujourd'hui s'ouvrait à Paris l'exposition Paris ! au Bon Marché.
J'ai la chance de faire partie de la centaine de créateurs sélectionnés pour représenter la création parisienne (rien que de taper ça, je suis en hyperventilation).
J'y suis passé dans l'après-midi, pour voir comment étaient présentés mes articles. Après avoir fait tout le tour du magasin, par l'extérieur d'abord (des fois que j'ai quelques trucs en vitrine, en fait non), puis à l'intérieur, j'arpente les différents étages pendant presque une heure, je regarde tous les rayons, pas de 3 escarbeilles à la papeterie, rien non plus au linge de maison, pas plus qu'aux luminaires (putain, mais qu'est-ce qu'ils ont fait de mes 471 articles !), je passe à la Grande épicerie, toujours rien. D'habitude cet d'endroit me rend dingue de convoitise, on peut quasi me suivre à la trace tellement je bave d'envie, mais là j'étais tellement crispée que j'ai pu passer devant les macarons sans même un regard.
Je retourne dans le magasin principal, décidée à regarder dans tous les recoins (ça y est, j'en suis sûre maintenant, ils se sont aperçus que c'était pas terrible et ils ne veulent plus de moi, ou un avion s'est crashé sur l'entrepôt et a anéanti mes 3 mois de boulot, ou encore ils ont dispersé toutes mes créations dans l'ensemble du magasin et personne ne les remarquera jamais…). Toujours rien au 2e étage, je reprend l'escalator (j'ai le menton qui commence à trembloter) et puis, au 1er, au milieu de l'étage mode femme, ça y est, enfin je me trouve ! et c'est tellement beau et bien présenté que limite si je ne passe pas devant sans rien voir (syndrome de l'imposteur : ça ne peut pas être moi, c'est trop bien).
Bon, après j'étais tellement épuisée que, pour me remettre de toutes ces émotions, je suis retournée m'acheter un macaron à la Grande épicerie.
Dédicace spéciale à ma grand-mère, qui a quitté ce monde depuis bien longtemps mais qui m'emmenait de temps en temps au Bon Marché quand j'étais petite. Je suis sûre qu'elle aurait été très heureuse et fière de moi. Alors, pour elle, je le suis aussi !
J'ai la chance de faire partie de la centaine de créateurs sélectionnés pour représenter la création parisienne (rien que de taper ça, je suis en hyperventilation).
J'y suis passé dans l'après-midi, pour voir comment étaient présentés mes articles. Après avoir fait tout le tour du magasin, par l'extérieur d'abord (des fois que j'ai quelques trucs en vitrine, en fait non), puis à l'intérieur, j'arpente les différents étages pendant presque une heure, je regarde tous les rayons, pas de 3 escarbeilles à la papeterie, rien non plus au linge de maison, pas plus qu'aux luminaires (putain, mais qu'est-ce qu'ils ont fait de mes 471 articles !), je passe à la Grande épicerie, toujours rien. D'habitude cet d'endroit me rend dingue de convoitise, on peut quasi me suivre à la trace tellement je bave d'envie, mais là j'étais tellement crispée que j'ai pu passer devant les macarons sans même un regard.
Je retourne dans le magasin principal, décidée à regarder dans tous les recoins (ça y est, j'en suis sûre maintenant, ils se sont aperçus que c'était pas terrible et ils ne veulent plus de moi, ou un avion s'est crashé sur l'entrepôt et a anéanti mes 3 mois de boulot, ou encore ils ont dispersé toutes mes créations dans l'ensemble du magasin et personne ne les remarquera jamais…). Toujours rien au 2e étage, je reprend l'escalator (j'ai le menton qui commence à trembloter) et puis, au 1er, au milieu de l'étage mode femme, ça y est, enfin je me trouve ! et c'est tellement beau et bien présenté que limite si je ne passe pas devant sans rien voir (syndrome de l'imposteur : ça ne peut pas être moi, c'est trop bien).
Bon, après j'étais tellement épuisée que, pour me remettre de toutes ces émotions, je suis retournée m'acheter un macaron à la Grande épicerie.
Dédicace spéciale à ma grand-mère, qui a quitté ce monde depuis bien longtemps mais qui m'emmenait de temps en temps au Bon Marché quand j'étais petite. Je suis sûre qu'elle aurait été très heureuse et fière de moi. Alors, pour elle, je le suis aussi !
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